Le MAUSA va sans doute plier bagage définitivement. Cette belle aventure fut permise par l'Assemblée départementale qui avait souhaité que les forges de Baudin deviennent un lieu dédié au street art avec le projet de Stanislas Belhomme.
Un montage juridique complexe entre un agent d'artiste du street art et un entrepreneur jurassien a finalement plus fait la une des médias pour leurs déboires judiciaires que pour la qualité des œuvres proposées dans un lieu métamorphosé.
Dommage pour le Jura ! Un soutien plus ferme des élus locaux aurait sans doute permis le maintien de ce lieu qui attirait un public venu souvent de loin...
Restent quelques souvenirs...
Avec M. Chat le 29 août 2017
Avec Nasty le 19 juillet 2018
Et une petite mise au point politique :
Le Progrès, 15 octobre 2018
2 utiles précisions suite à cet article :
1- En séance publique du Conseil municipal l'année dernière, j'ai défendu le report de l'attribution à une association du Boeuf sur le toit et non le dossier du MAUSA qui présentait pour seul inconvénient à mon sens la précarité juridique de cette belle aventure jurassienne.
2- Mon intervention de l'encadré de l'article n'a aucun lien avec le dossier précédant et n'engage bien sûr que moi. Faire partie d'un exécutif n'implique pas un silence absolu sur tous les sujets, surtout quand le contribuable jurassien pourrait être lésé.
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